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mélia qu’elle connaissait son asile, c’était pour lui notifier cette intention qu’elle voulait en avoir connaissance ; mais les circonstances étaient devenues telles, que l’amie de Caroline ignorait son sort, et qu’elle en était à savoir si la lettre qui l’accusait aux yeux de Crumwel, avait été dérobée avant ou après avoir été reçue. Milady convaincue qu’elle n’apprendrait rien par elle, lui fit comprendre que sa colère ne pouvant se calmer que par l’absence éternelle de Charles Goring et de Caroline, il fallait qu’elle fit des recherches, qu’elle