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l’obéissance est le premier parti à suivre. Nous chercherons à éclaircir son affaire ; et je me charge de démêler pourquoi on la croit coupable. « Mistriss Claypole, lui dit alors sa sœur, vous connaissez mal la Cour, et vous n’apporterez pas à ces recherches l’adresse nécessaire. » — Aussi n’est-ce pas à la Cour que sir Claypole bornera ses vues. On saura d’abord par qui Charles Stuart a été secouru, accompagné, conduit au vaisseau qui l’a transporté en France ; nous saurons, dit-elle en regardant sa sœur, ce que c’est que cette Caroline, ce Charles Bel-