Page:Keralio - Amélia et Caroline, ou L’amour et l’amitié - Tome 2 - 1808.pdf/268

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.
( 264 )

mée d’un état dont les symptômes devenaient effrayants, crut devoir renoncer à sa protection, et la supplier de retourner sur ses pas. Après beaucoup d’instances, la célérité de la marche étant dictée à la petite troupe, le commandant en chef déclara qu’il fallait absolument que milady prit le parti de s’arrêter au premier endroit où elle pourrait loger, et de prendre la voiture de suite pour se rendre à Londres, ou dans tout autre lieu. Amélia redoubla ses prières, lui protestant qu’elle aimait mieux être moins bien traitée au château d’Édimbourg, que de la