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Page:Keralio - Amélia et Caroline, ou L’amour et l’amitié - Tome 2 - 1808.pdf/98

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et ses compagnes. Il fut suivi d’un autre, puis d’un troisième, avant qu’on se fût déterminé à répondre.

Cependant fuir dans la nuit, semblait une chose plus dangereuse que de s’enquérir de ce qu’on voulait. Law prit ce dernier parti, et avant d’ouvrir il fit une question. « Ouvrez, lui dit-on, une femme vient de faire une chute ; elle est expirante et demande un asile. » À ces mots on ouvrit, et quelques hommes armés entrèrent, portant en effet dans leurs bras une femme accompagnée d’une autre, ayant un chapeau et un grand voile qui