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t-il… Ses voies sont cachées ; pour la première fois, je cherche le Christ, et ne l’ai pas rencontré. Votre mère m’a été ravie !… Les joies de ce monde sont périssables, Dieu seul est infini !… Des larmes coulaient le long des joues du jeune Henry. Crumwell, sans avoir l’air de s’en appercevoir, continua ainsi : — Il plaît à Dieu, qui m’a toujours accordé la victoire sur les ennemis de l’État et du Christ, de m’affliger dans ma propre famille : j’ai perdu mon gendre Ireton ; je suis encore menacé de perdre mon autre fille, votre tante Adélina ; cette femme