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Page:Keralio - Amélia et Caroline, ou L’amour et l’amitié - Tome 4 - 1808.pdf/115

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traite. Alors venez m’en instruire ; je le consulterai moi-même, et s’il est vrai qu’il donne la force à l’esprit de concevoir le bien, et de l’opérer par de saintes œuvres, je trouverai sans peine s’il est bon que l’œuvre du Seigneur s’accomplisse. » Il était déjà fatigué d’avoir tant proféré de paroles dont le sens était enveloppé, et dont la plupart n’étaient sorties de sa bouche qu’à de longs intervalles ; il fit un signe de la main, et Henry l’ayant salué, se retira sans mieux comprendre ce qui était réellement sa volonté que s’il n’eût point parlé. Il n’y avait