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Page:Keralio - Amélia et Caroline, ou L’amour et l’amitié - Tome 4 - 1808.pdf/175

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tir le prix de l’existence, la seule qui, semblable à ma mère, m’a fait éprouver des sentiments différents, mais aussi délicieux ! Vous m’avez vu sans doute aux pieds de lady Falcombridge, dans le moment où, du haut de ces collines, elle venait de me montrer l’habitation de Caroline, et de faire palpiter mon cœur. Caroline, vous n’en doutez pas : dites-moi que vous n’en doutez pas… — Non, sir Charles, je n’en doute plus, et n’ai besoin que d’un mot de votre bouche. Mais qu’allez-vous devenir quand vous aurez épousé la fille de Maclean ?