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Page:Keralio - Amélia et Caroline, ou L’amour et l’amitié - Tome 4 - 1808.pdf/225

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Crumwell, et si Crumwell la donnerait ; il recommanda fortement à Lewis de n’avoir avec elle nul entretien particulier, de ne lui nommer personne, et enfin d’éviter également de la flatter d’un espoir trompeur, ou de la désoler par la cruelle perspective d’un total abandon. « Il vaut mieux, dit-il, l’abandonner à son imagination. Elle est ingénieuse à nous abuser par d’aimables fictions, et se voyant tirée d’un grand péril par une main inconnue, elle croira facilement, que cette main saura en écarter d’autres. »