Page:Keralio - Amélia et Caroline, ou L’amour et l’amitié - Tome 4 - 1808.pdf/25

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.
( 21 )

à l’heure que Caroline ne se réunit à lui ? — Je ne sais… vous m’embarrassez l’esprit avec votre prédilection pour cette Caroline, et… Je ne sais plus ce que je dis. Croyez-moi, Milord, abandonnez, cette fille à cette obscurité qui doit être le partage d’une naissance vile, et conservez dans votre famille la paix et l’amitié ; elles en sont bannies depuis qu’on a daigné admettre son nom dans nos discussions. Au nom des malheurs d’Amélia, qui sont tous son ouvrage, et qui sont cause de mon ressentiment, n’en parlons plus. — Je le veux bien, reprit mi-