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Page:Keralio - Amélia et Caroline, ou L’amour et l’amitié - Tome 5 - 1808.pdf/131

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blait que M. Melvil l’eût destiné à faire le patrimoine de sa pupille, ou peut-être de sa propre fille, il brûlait d’être éclairci sur le sort de cet enfant. Claypole n’était pas assez éclairé sur ce point ; il ne voulut point troubler le repos de son beau-frère, ni même celui de la sœur de Fenny. Lorsque les découvertes faites en France et en Hollande eurent montré l’évidence de tout ce qu’on ne faisait encore que soupçonner, on se détermina à ne montrer les preuves incontestables de l’état de Caroline qu’en présence d’Adelina, tant on redou-