Page:Keralio - Amélia et Caroline, ou L’amour et l’amitié - Tome 5 - 1808.pdf/17

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.
( 13 )

par des mouvements tumultueux ; la présence de ce vieillard qui avait voulu parler à son époux, l’avait jetée dans une espèce de délire. Lorsqu’elle avait couru chez son père pour lui demander de conclure le mariage de sa belle fille avec Henry Claypole, sa tête déjà égarée, le fut tout à fait par la présence de Charles Goring qui était conduit au Palais par une escorte nombreuse.

Avant d’y arriver, elle avait entendu circuler le bruit que Charles II était à Londres, et qu’il venait d’y être arrêté. Ce bruit était