Page:Keralio - Amélia et Caroline, ou L’amour et l’amitié - Tome 5 - 1808.pdf/173

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.
( 169 )

l’autre de votre sein ; toutes deux furent unies par le malheur ; la fortune n’aura point le funeste pouvoir de les séparer. « Vous avez, Milord, ajouta lady Goring, accordé lady Caroline à mon fils ; telle qu’elle était dans la chaumière, je l’avais nommée la fille de mon choix, et aujourd’hui je déclare au nom même de sir Charles, que je la nommerai telle encore avec les tristes débris de ma fortune pour tout héritage, ou que nous y renoncerons, si le sort de lady Amélia n’est pas égal au sien. » — Caroline m’est trop chère, reprit sir Char-