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clef, lui indiquait qu’elle trouverait une autre porte, et puis étendait ses bras pour montrer qu’alors elle se trouverait dans un grand espace. Enfin, elle l’embrasse en pleurant, lui montre encore le chemin, et la quitte aussi précipitamment qu’elle était venue. Caroline se décide à entrer sous la voûte obscure ; d’abord elle marche sans rencontrer d’obstacle, mais, après avoir fait cent pas, la voûte cessait, et le corridor devenait si étroit et si bas, qu’elle fut obligée de marcher d’abord courbée, ensuite presque couchée, faisant voya-