Page:Kindt - Pour se damner.djvu/36

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

chapeau, se disposant à partir, elle se traîna encore, et, toujours rampant, elle lui enlaça fortement les jambes.

— Reste, dit-elle d’une voix sifflante, pardonne-moi, Je ne savais pas… mais je ne veux pas que tu me quittes, car je t’aime ; maintenant tu es mon maître, je suis à toi pour jamais !