Aller au contenu

Page:Kirby - Le chien d'or, tome I, trad LeMay, 1884.djvu/241

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.
229
LE CHIEN D’OR

Quand elle s’éveilla, le soleil rayonnait dans ses fenêtres, une brise rafraîchissante agitait le feuillage, les oiseaux chantaient dans le jardin et les rues étaient pleines de monde !

Il était grand jour. Elle redevint ce qu’elle avait été. Ses rêves d’ambition de la veille surgirent de nouveau, ses rêves d’amour de la nuit dernière s’envolèrent ; ses craintes s’évanouirent, ses espérances se réveillèrent toutes pompeuses, et elle se mit à songer au moyen de forcer Bigot à venir lui rendre visite.