Aller au contenu

Page:Kleist - Contes, t. 1, trad. Cherbuliez, 1832.djvu/108

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

Kohlhaas, l’embrassant avec beaucoup de joie, dit qu’il acceptait son offre, et qu’elle n’avait qu’à se rendre au château. Le même jour, il la fit partir pour Berlin, dans une bonne calèche, avec son domestique Sternbald.

_____