Aller au contenu

Page:Kleist - Contes, t. 1, trad. Cherbuliez, 1832.djvu/158

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.
103
LE MARCHAND DE CHEVAUX.


CHAPITRE V.

____

Le jour commençait à paraître sur les créneaux de la ville, où tout reposait encore, lorsque Kohlhaas frappa à la porte de sa propriété dans le faubourg de Dresde.

Grâce à la complaisance de son voisin le bailli, elle lui appartenait encore.

Au bout de quelques heures il pria