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Page:Kleist - Contes, t. 2, trad. Cherbuliez, 1832.djvu/126

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core une fois relu le journal, dit que s’il fallait choisir entre deux choses inconcevables, elle préférait penser que c’était un jeu inoui du sort, plutôt que de croire à la dégradation d’une fille que jusque là elle avait toujours tendrement chérie. Mais sans la laisser achever, le commandant s’écria :

« Fais-moi le plaisir de te taire, et va-t’en. Je hais même en entendre parler. »

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