de don Fernando, on agita aussi la question de savoir s’il convenait de se joindre aux autres. Dona Elisabeth rappela avec quelque frayeur l’événement arrivé la veille dans l’église.
« Sans doute, ajouta-t-elle, on réitèrera cette fête, et l’on pourra d’autant mieux alors se livrer aux élans de la reconnaissance, que le mal sera plus éloigné.
— Jamais, dit Josepha en se levant avec une sorte d’enthousiasme, jamais plus qu’aujourd’hui je ne me sentis disposée à me prosterner la face contre terre devant le Créateur ; car jamais je ne le vis déployer sa puissance incompréhensible et toute grande comme dans ce jour désastreux. »
Dona Elvire appuya avec vivacité l’opinion de Josepha. Il fut donc résolu qu’on entendrait la messe, et toute la société se leva pour partir.