Page:Kleist - Contes, t. 2, trad. Cherbuliez, 1832.djvu/203

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épouse de toutes ces horreurs. Lorsqu’il lui en fit le récit quelque temps après, cette digne dona répandit des larmes abondantes sur le triste sort de son enfant et de ces malheureuses victimes du fanatisme religieux. Don Fernando adopta le petit étranger, et dans la suite, lorsqu’il considérait Philippe, et réfléchissait à la manière dont il avait eu cet enfant, il lui semblait presque qu’il dût s’en réjouir.


FIN DU SECOND VOLUME.