Page:Kleist - Contes, t. 3, trad. Cherbuliez, 1832.djvu/68

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Toni, qui se sentait remplie pour la première fois d’un sentiment humain, le suivit, et obéissant à la force de la sympathie, elle se jeta à son cou et mêla ses larmes aux siennes. Leurs âmes s’entendirent, et l’amour le plus vif enivra leurs cœurs.


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