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Page:Kletke - Album deutscher Dichter, 1853.djvu/410

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Jh sieig’ hinab den Felsenstein,
Es donnert dumpf die Mühle,
Und eine Glocfe tónt darein :
(Die Arbeit ist am Ziele !“
Ju Müllers Kammer tret’ i< nun :
Starr liegt des Greisen Hülle,
Es fio>t sein Herz, die Pulse ruhn —
Und draußen auch wird’s sliille.
Die treueu Lieben weinen sehr,
Still bleibt sein Herz uud kühle ;
Die Wasser fließen wohl daher,
Still aber steht die Mühle.

FJ. Kerner.


Das Gewitter.

Aïeule, grand-mère, mère et enfant,
Sont ensemble dans la salle étouffante ;
L’enfant joue, la mère se fait belle,
La grand-mère file, l’aïeule penchée
Est assise derrière le fourneau au chaud -
Mais que l’air souffle donc si lourd !

L’enfant parle : « demain est jour de fête,
Comme je vais jouer dans l’herbe de l’enclos,
Comme je vais sauter par monts et par vaux,
Comme je vais cueillir beaucoup de belles fleurs ;
Le pré, c’est lui que je préfère » -
Entendez-vous, comme gronde le tonnerre ?