Page:Kock - Bulle de savon, 1837.djvu/210

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée
200
LA BULLE

Celui-ci se plaint du temps,
Da froid et des autans,
Cet autre encor murmure ;
Moi, jamais rien ne m’émeut ;
Que m*importe s’il pleut
Quand je suis en Toiture,
Je yeux toujours, etc.
Je perds un oncle chéri „
D’abord je suis marri
De cette catastrophe :
n me laisse ses écus,
Je dis : « Ne pleurons plus,
Et soyons philosophe. »
Je veux toujours, etc.
Je veux, vieillissant ainsi,
Conserver, Dieu merci.
Cette philosophie.
Que j’aille cent ans encor,
Sans accuser le sort,
Je quitterai la vie.
Oui, toujours je suivrai ta loi,
Philosophie
Chérie,
Sénèque et Socrate, ma foi.
Pour modèle auraient pris, je croi,
Moi.