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Page:Kuhff - Les Enfantines du bon pays de France, 1878.djvu/377

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ERRATA ET ADDITIONS.


Page 66, au quatrain, vers 3, lisez :

Par l’oreille, l’espaule et l’oeil.

Page 226, note. Le texte de Damas Ârbaud porte :

« D’agnelets, blancs moutons ».

Nous le rétablissons ainsi : etc., etc.


Page 284. Suite et fin de la note :

C’est ici le lieu, ou jamais, de rappeler les vers de Du Bartas (1544-1590) :

La gentille alouette, avec son tire-lire,
Tire l’ire (la colère) à l’iré (à l’homme irrité),
Et tirelirant tire
Vers la voûte du ciel ; puis son vol vers ce lieu
Vire, et désire dire : Adieu, Dieu, adieu Dieu.

On sait aussi que Ronsard a plus d’une fois reproduit cette onomatopée. Nous ne citerons que ces vers :

J’escoute la jeune bergère
Qui dégoise son lerelot.

Et ceux-ci de la pièce à l’Alouette :

Tu dis en l’air de si doux sons
Composés de ta tirelire.