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de cent vingt volumes, et il est donné comme modèle dans les écoles, car non-seulement Bakin excelle à trouver des Situations mouvementée et dramatiques, à dépendre tous les sentiments de l'âme, à reproduire avec une finesse tou chante les caractères des jeunes filles; mais sa phrase est alerte, puissante; son laconisme mène droit au but, et, semblable aux peintres du Japon qui savent trouver les. traits rapides, simples, élégants, pour tout exprimer, il a le mot exact, la tournure harmonieuse, l'expression juste qui donne l'intensité du vrai.
Dans sa jeunesse, il étudia d'abord les sciences naturelles et fut très-étonné de ne pouvoir dépasser es connaissances
de son professeur. Son esprit inventifne pouvait s'accom-
nces orien-
moder de la routine empirique qui dirige les. tales. Peut-être, s'il eût connu les lois de la chimie, s'il eût pu combiner ou séparer les corps comme il sut plus tard associer où désassocierles personnages de ses livres, il eût fait du roman chimique et reconnu les Situations dramat ques du laboratoire, il se serait intéressé à ces atomes que l'on poursuit, que l'on chasse, qu'on élimine pour les dé- masquer et les reconnaître, et ceux que l'on attire, que l'on passer de comi
amener à une forme déterminée et prévue; véritable trans- migration de la matière dirigée par une force immuable. Mais les découvertes japonaises ne lui donnaient pas ces ressources. S
11 se tourna du côté des lettres et y trouvasa voie. Malgré
sa vi
e imagination, il était d’un tempérament indolent ct
S'étai installé dans une bibliothèque dont il pouvait prer dre et remettre les livres, au moyen d'une longue pincette, sans quitter sa place. Pour ne pas s'embrouiller au milieu
des acteurs nombreux et des
ations compliquées de ses ouvrages, il fabriquaît de petites poupées qu'il attachait ensemble lorsqu'elles étaient mariées, qu'il éloïgnait dans un coin de la chambre lorsqu'elles étaient en voyage, qu'il mettait dans une boite lorsqu'elles étaient mortes. De cette façon il ne courait pas le risque — comme cela est arrivé à plus d'un romancier moderne — de fre intervenir un héros qu'il avait déjà tué dans un chapitre précédent.
On raconte qu'un jour, perplexe au sujet d'un person nage qui le génaît et qu'il hésitait pourtant à supprimer, il
S'écria tout haut en remuant ses poupées :
— Enfin, celui-là, faut-il le tuer ou le laisser vivre?
Un brave marchand qui venait lui rendre