rance dans laquelle ils sont à cet égard devienne une excuse, sinon de tout péché, du moins du péché mortel. C’est pourquoi nous pensons qu’on doit les avertir et les détourner du péché ; mais il est ordinairement plus prudent de leur laisser ignorer la gravité du péché.
Nous divisons cette seconde question en trois chapitres : Le premier traitera du devoir conjugal demandé et rendu ;
Le deuxième, de l’usage du mariage ;
Le troisième, de la conduite des confesseurs à l’égard des personnes mariées.
Nous diviserons le présent chapitre en trois articles :
Dans le premier nous traiterons de l’acte conjugal considéré en soi.
Dans le second, du devoir conjugal demandé ;
Et dans le troisième, du devoir conjugal rendu.
Nous avons prouvé, dans le traité du mariage, con-