— Mon enfant, cette personne à qui vous avez dit des paroles déshonnêtes, sales, exprimant clairement un désir ou un objet d’impureté, cette personne, dis-je, a-t-elle été scandalisée ?
Supposons que la jeune pénitente réponde :
— Non, mon père, elle n’a pas été scandalisée du tout.
Le confesseur se dira, à part lui :
— Très bien, voilà une vertu facile dont je pourrai prochainement tenter l’assaut.
Le motif de ces questions indiscrètes ne peut faire aucun doute.
Continuons encore :
— 2. Avez-vous écouté avec plaisir des paroles déshonnêtes ? — Combien de fois par jour, par semaine ou par mois ? — Depuis quand dure cette habitude ?
— 3. Vous êtes-vous vanté de péchés commis en secret, diffamant ainsi les personnes dont vous avez abusé?
— 1. Avez-vous chanté des obscénités ou des chansons avec mots à double entente ? — Devant combien de personnes, etc. ?
— 2. Les avez-vous apprises à d’autres ?
— 3. Avez-vous écouté des chansons déshonnêtes ? — Y avez-vous applaudi, etc.?
— 1. Avez-vous regardé par curiosité, par passion, des objets déshonnêtes sur vous-même ? — Sur d’autres de même ?