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LA RELIGION DU CRIME.

Pierre Lablaude avait en effet, pour obéir à sa petite amie Clairette, arraché une poignée de crins à l’un des lions du cirque ambulant. (Chap. VI.)
Pierre Lablaude avait en effet, pour obéir à sa petite amie Clairette, arraché une poignée de crins à l’un des lions du cirque ambulant. (Chap. VI.)
Pierre Lablaude avait en effet, pour obéir à sa petite amie Clairette, arraché une poignée de crins à l’un des lions du cirque ambulant. (Chap. VI.)
 
et passionnée, Georgette croyait à l’honnêteté de tous, au bonheur, à l’espérance, à l’avenir.

Elle avait foi dans l’amour.

Un matin, elle s’était retrouvée chez Arthur, tout étonnée, toute triste et rougissante de honte.

On était allé dîner la veille dans une guinguette de Neuilly. On s’était ensuite promené au bois de Boulogne.

C’était le 15 avril. Les marronniers étaient en fleurs. Il y avait de cela huit mois.