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L’HEREDO.

gique les émeut, les trouble, les rebute. Ils se contentent, en ces domaines, de médiocrité et de poncifs. Les milieux scientifiques sont, en général, puérils, dominés par des préoccupations rabougries, ou d’une servilité extraordinaire. On diagnostique aisément chez eux, quand on connaît la question, des gens empoisonnés par leur ascendance et qui vont jusqu’au terme de l’existence sans avoir osé être eux-mêmes.