3o À Sainte-Marie-des-Grâces, la coupole, qu’il n’exécuta qu’en partie, la porte principale, la chapelle Saint-Paul, le tombeau d’un fils de Ludovic le More, la sacristie, le cloître et le réfectoire (1492-1494) ;
4o À Sainte-Marie près San Satiro, la première partie de la nef (vers 1474), la chapelle Saint-Théodore (1497), la seconde partie de la nef et les premières assises de la façade (1498) ;
5o À Sainte-Radegonde, le mur latéral de gauche et un cloître sur plan irrégulier ;
6o Au Grand-Hôpital, neuf fenêtres gothiques entre la loggia du milieu et le nouveau corps de logis, la moitié du portique de la grande cour, du côté du midi ;
7o À l’archevêché, le portique de la cour principale, vers la piazza Fontana (1493-1498).
En dehors de Milan et de Rome, on a voulu reconnaître la main de Bramante dans un grand nombre d’édifices ; mais ces prétentions sont loin d’être toujours justifiées. Si rien n’empêche, par exemple, d’admettre qu’il ait fourni des dessins pour l’embellissement de la cathédrale de Côme, — trois fenêtres (1491) et le revê-