X final est supprimé, au singulier comme au pluriel ; ces mots prennent s comme marque du pluriel, à moins qu’ils ne soient déjà terminés par s ou z ; ex. : on doû brès, des doûs brès, un doux bras, des doux bras, djouwer à l’ bale aus tch’vaus, jouer à la balle aux chevaux, on gros tch’vau, un gros cheval, des bias tch’vias, de beaux cheveux, on bia tch’via, un beau cheveu.
L’apostrophe placée à la fin d’un mot signifie que la dernière lettre est sonore ; ex. : on’ ôte, on’ home, un autre, un homme, li moès d’ maus’, le mois de mars.
G et j, où g remplit les fonctions de j, nous adopterons cette dernière notation ; ex. : èdjaler, djinti, baujî, djin, etc., de même que dg final sera remplacé par dj ; ex. : bagadje, vizadje, imaudje, etc.
NOTE
Le lecteur remarquera que ces dernières règles, qui ont provoqués de longues et nombreuses discussions, n’ont été appliquées qu’à partir de la page 135.