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cinquantième runo

mère, assis avec mon frère sur un tas de copeaux, et vêtu d’une chemise déchirée et noire de suie.

Et cependant, lancé sur mes suksi, j’ai frayé la route à la foule des runoiat, j’ai brisé la pointe des branches, j’ai enlevé l’écorce des arbres ; et, dès maintenant, le chemin est signalé, la carrière est ouverte ; d’autres runoiat meilleurs que moi, des runoiat plus riches de chants y entreront ; et ils chanteront pour une race plus jeune, pour les jeunes fils de notre peuple.

FIN DU TOME PREMIER