perpétuent ces heureux hasards que la nature en se jouant avoit lait éclore sans vouloir les propager.
Une scene différente occupe la droite du tableau. Les montagnes pittoresques de Sanois terminent de ce côté l’horizon. Elles sont couronnées de hautes tours surmontées d’un dôme. Je vous dirai dans une autre lettre quel est leur usage. Je n’en parle aujourd’hui que relativement à l’effet qu’elles produisent dans ce riche paysage. On en voit aussi sur le Loti, sur les hauteurs de Montmartre, et sur celles de Marly, à la place de l’inutile aquéduc que l’on y avoit élevé autrefois. Si vous abaissez vos regards, ils se porteront sur la vallée où circule la Seine. Cette plaine sablonneuse et aride est changée en une verte prairie. On a creusé dans la presqu’isle un lac entouré de digues, qui ne