Aux fruits amers d’une humaine science
Oui, vous mordez, sans calmer votre faim
Vous semez l’or, vous soupirez en vain !…
Vous succombez loin de toute espérance
Paix et repos : tout en vous les réclame ;
Ne cherchez plus dans un monde trompeur
Le baume impur pour guérir votre cœur…
L’Amour du Christ peut seul sauver votre âme.
É. Armand.