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L’ÉCOLE DES BICHES


cousine, elle touche le ressort, et fait jaillir dans le brûlant vagin ce semblant de décharge.)

marie.

Assez, assez !

(Le groupe se défait. Caroline est en contemplation enthousiaste devant les réconciliées.)

caroline.

Êtes-vous divines comme cela ! et toi, chérie, comment trouves-tu ce jeu que tu ne connaissais pas ?

marie.

Avec ce que tu y as ajouté, la tête se monte. Sans cela, ce serait un passe-temps bon pour des pensionnaires ou de vieilles femmes qui ne peuvent plus rien trouver pour leur service. Ta machine a beau être exécutée avec un art infini et être portée par une femme que j’affectionne, elle ne sera toujours qu’une copie inerte du chef-d’œuvre de la création.

caroline.

C’est égal, tu n’en as pas moins joui !