Page:L’École des biches, 1863.djvu/188

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
177
DOUZIÈME ENTRETIEN

marie.

J’avoue que je lui permets quelquefois un extra.

caroline.

Ah !

marie.

Oui, mais jamais par devant : et quand il n’excite pas en même temps mon clitoris, ce que je ne lui permets pas, il ne peut me faire perdre une goutte de foutre. Je puis contenter ses désirs sans jamais me fatiguer.

caroline.

Il n’y a rien à dire à cette méthode : je baisse pavillon devant tant d’intelligentes précautions.

antonia.

Mais, mademoiselle, j’admire votre courage ; comment pouvez-vous souffrir ?… (Après un moment de réflexion.) Il est vrai qu’avec un si joli garçon, je ferais peut-être comme vous : je ne pourrais rien refuser.