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SEIZIÈME ENTRETIEN
marie.
Ah ! ma chère, que ce jeu est plaisant ! C’est moi qui le baise ; je presse ou ralentis les mouvements à ma volonté.
martin.
Pas si vite ! je finirais tout de suite.
marie.
Tiens… tiens !… comme cela es-tu content ?
martin.
Ah !… oui, ah !… ah !…
louisa.
Je crois que ta parole s’embarrasse, mon pauvre Martin ; nous n’y sommes plus ; et toi, coquine, où en es-tu ?
marie.
Je… je…
louisa.
Et toi aussi ! Ah ! bon ! voilà mon cavalier qui tombe sur sa monture. Il paraît que tout est fini.
martin.
Sacredié ! Marie, vous m’avez mené si grand