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Page:L’École des biches, 1863.djvu/54

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DEUXIÈME ENTRETIEN

caroline.

Eh bien oui ! viens à côté de moi ; je te donnerai mieux l’explication de ton rêve et de son dénoûment.

marie.

Faut-il aussi que je me déshabille ?

caroline.

Certes oui ! Allons, pas d’enfantillage, et dépêche-toi ! (Marie, que cette scène a fort animée, ne fait plus aucune façon ; elle est d’ailleurs aidée par Caroline, qui, de son côté, ne se gêne plus et ne cesse de porter les mains partout où elle suppose que sa cousine éprouve une sensation. Bientôt chaque vêtement est mis bas, et Marie, pressée dans les bras de sa cousine, est très-disposée à recevoir l’explication désirée.)

caroline.

Nous disions donc qu’il te mettait la main au con ?

marie.

Ah ! c’est ainsi que s’appelle ce que je touche ? Je ne le savais pas.