Page:L’Épopée Napoléonienne dans la poésie française, éd. Allem, 1912.djvu/93

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Alors, épouvanté du sinistre nuage
D’où jaillissent la foudre et les traits de l’orage,
Le roi parjure fuit : il traîne sur ses pas
La honte, les débris d’une défaite immense,
Et court ensevelir ses projets de vengeance
Dans l’antique cité qui borne ses états.

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