vous assez dans sa nudité, dans sa complaisance
à me laisser la peloter et la baisoter ?
Elle va rester là, ainsi, sous vos yeux, vous
montrant sans fausse honte bête tous ses trésors
d’amour, pendant que je vous révélerai
nos deux autres merveilles. Voici Léa, la
timide, la chaste colombe, jeune fleur, non
encore tout à fait épanouie par sa grotte non
violée. Léa, la jolie fille à la chair déjà appétissante,
au fin duvet, aux cuisses déjà fermes et
fortes, au derrière rondelet et velouté, qu’on
châtie par la fouettée ou qu’on lèche de la langue
avec la même volupté. Voyez-la bien dans
sa délicate luxure, à côté de Lina, et dites-moi
si elles ne sont pas pour dicter les plus fougueuses
passions ? Et maintenant, c’est le tour
de ma belle Thérèse, l’amante et l’amant, aux
nerfs de fer, au ventre éblouissant, aux poils
agrippeurs de baisers, au cul splendide et
solide, pour lui permettre tous les plaisirs
sexuels. Sous sa blouse relevée, elle ne nous
cache rien. N’est-ce pas qu’il est difficile de
décerner le prix à l’une d’elles, ce qui ne serait
plus, belle patronne, si vous preniez rang au
milieu de leur groupe, pour former un quatuor
de célestes houris ?
— Flatteur ! vous ne dites pas ce que vous