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Page:L’Enfant du plaisir, ou les délices de la jouissance, 1803.djvu/126

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d’elle de manière que ses genoux étaient liés à ses épaules ; avec un autre ruban je lui serrai le ventre autant qu’il me fut possible pour ne point lui causer de douleur ; la pauvre petite qui riait aux éclats en plaisantant sur mon peu de capacité se laissait faire avec une complaisance admirable. Dans cet état son bijou ressortait d’une manière extraordinaire, et cette position neuve fut celle qui me fit renaître et jouir de ses charmes avec un feu indicible…

Dès qu’elle sentit l’approche de l’éjaculation pendant laquelle toujours la plus ferme raison s’égare, elle me disait d’une voix tendre, entrecoupée de charmans soupirs… d’Angeville… mon bon ami… dieux que tu me donne de plaisirs… je suis toute à toi… je t’adore… ah !… ah !… quelles délices… je m’abandonne à ta prudence… et à ton amour… dieux… je me meurs… ces