Page:L’Enfant du plaisir, ou les délices de la jouissance, 1803.djvu/148

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fréquent que lui donnait Henriette ; elle se cramponne après les cordons… Dieux… dit-elle… je jouis… D’Angeville comment te sens-tu ? — Je commence à renaître, ma bonne amie… Je vais jouir au même instant que toi… oui… je t’en prie… Henriette… un peu plus vite… encore. La soubrette me guettait, dès qu’elle vit l’instant où la force m’était revenue, elle en avertit sa maîtresse… qui se démenait sur son coussin en disant… Mon ami… ensemble… ensemble, je t’en supplie… que l’illusion soit complète, c’est comme si je le faisais avec toi ; un dernier mouvement me fit éclore. Henriette en redoublant les secousses ; lâcha le ressort qui retenait la liqueur que renfermait son instrument ; Constance et moi, nous perdîmes connaissance dans l’extase et la volupté.

Après cette scène de masturbation, nous