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Page:L’Enfant du plaisir, ou les délices de la jouissance, 1803.djvu/70

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sance, je glissai ma main droite sur le ventre de Constance, puis plus bas, puis enfin jusqu’à la petite excroissance que l’on nomme vulgairement le clitoris ; du bout du doigt je chatouillais habilement cette partie qui fait pâmer les femmes. Lucas à mon exemple en fit autant à Lisette, toutes deux éprouvaient un double plaisir, tandis que nous caressions doubles charmes. Dieux ! quels momens fortunés !… pourquoi ne sont-ils pas durables !… nous ne proférions que ces mots… as-tu du plaisir ma bonne amie… oui… oui… mon bon ami… fais… fais… vite…, baise-moi bien… mon bon ami… Ah ! Lucas… sens-tu ça comme moi… ah ! dieux… je n’en puis plus… Constance moins réservée mais plus voluptueuse prononçait en poussant d’amoureux soupirs. — Va, va, mon ami… encore mieux si tu peux… d’Angeville…