moins longue, elle ouvre les cuisses, nous
jouissons tous les trois ensemble, elle sent
et reçoit à la fois l’effusion mutuelle de
nos désirs, par ce voluptueux mouvement
Albino lui disait, ma bonne amie, tu en
sens quatre.
Cette scène fut courte, mais heureusement terminée ; nous procurâmes à notre amante commune tout ce qu’il lui fallait pour faire sa toilette, elle en avait vraiment besoin, nous bûmes ensemble un flacon de vin de Madère ; notre belle alors prit congé de nous, une voiture la remit chez elle.
Je ne pus m’empêcher en quittant Albino, de lui témoigner combien l’affront qu’il venait de faire à Julienne m’affligeait, et je lui représentai que nous aurions pu ne point pousser les choses si loin. — Quoi, me répondit-il, nous n’avons poussés les choses qu’au point où