Page:L’Impôt sur les célibataires.djvu/52

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lui dis que je l’aime, l’adore, l’idolâtre. — Et c’est vrai — Je l’épouse. — Voilà que tout à coup je découvre une verrue que je n’avais pas vue ! c’est fini. — Je la trouve laide comme la servante de Proserpine !

Est-ce ma faute, à moi, si mon amour n’a pas pu résister à cette verrue ?


Le philosophe blâme les vœux monastiques. On ne voit pas qu’il y ait moins de ridicule et d’insanité dans les vœux matrimoniaux.

Mais en parlant des vœux monastiques, est-ce que votre impôt, ô illustre Vingtain, atteindra les moines, moinillons et capucins de toutes robes, ainsi