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Page:L’Origine des Cons sauvages, 1797.djvu/31

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sont volontiers longues et grêles, et ont le con maigre, thisic, et de longue ouverture. Les mélancoliques, seiches et édustes comme un bâton de four, l’ont communément si très-mal basti que l’on ne sait ce que c’est, sinon qu’en le tâtant, on juge, par conjecture, qu’il y a quelque ouverture entre deux malostrues pièces d’os, ou de bois mal ordonnés, comme un chevron rompu. Et de ces deux sortes de cons, ainsi mal esquipés, parent deux martiallement se trouvent des cons engraissés, cons barrés,