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Plouvoir, tonner, et esclairer,
Dont souvent estes en esmoy ;
J’espere, avant que m’en aller,
Qu’en saurez autant comme moi.

Qui veut ma science comprendre,
Achepte des cons, s’il n’en a ;
Il en est qui ne font qu’attendre
Qu’on les embesogne à cela,
Mais acheptez-en de ceux-là,
Qui ont sens et entendement,
Et n’en prenez point de plus là ;
Ou vous perdriez votre argent.

Tout ce que nous prognostiquons,
Le comprenons en un vieil livre,
Nommé kalendrier des cons,
Et contenant cent et un livre ;