Page:L’Origine des Cons sauvages, 1797.djvu/8

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ne se rapportent pas. Tels cons sont volontiers rustiques ou villageois, cogneux de longue main, et sont puans, à cause de leur fréquentation ès escurie, cuisine, et garniers à foin, prompts à vuider leurs différends au premier poinct d’honneur. Les autres sont à un doigt près du cul, et n’ont point esté hantés ; car quand ce vient à approcher le bidault, il glisse en bas, et fait son pertuis à la longue. Ces cons sont de pucelles nouvelles percées, lesquels sont volontiers sucrés et amiellés, et ne sentent point.