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Page:L’atelier d’un peintre.pdf/28

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II.

LE COUVENT DES CAPUCINES.


Elle y pensait beaucoup, à cette sœur absente. Lire ses lettres, c’était se croire près d’elle à parler bas ; et les jeunes filles aiment beaucoup à parler bas. Mais à ces lettres causeuses, la voix manquait, et l’âme