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Page:La Belle libertine, 1793.djvu/103

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jolies choſes du monde ſur chaque agrément qu’il découvre : auſſi honnete, je ſaiſis toutes ſes formes nerveuſes : nous allumons un incendie par nos attouchemens libertins ; nous ſommes obligés de nous ſéparer pour reſpirer un peu : j’avois les reins en feu, & ne pouvois plus me tenir couchée. — Je n’en puis plus, j’étouffe. — Ce n’eſt rien ; eſſayons une poſture qui permettra à l’air environnant de nous rafraîchir. — Ah ! oui, je veux tout ce que vous propoſez. — Hé-bien, ma divine, mettez-vous à genoux, élevez la croupe, qu’elle ſoit bien haute ; appuyez-vous ſur les mains, tenez la tête baſſe, tournez-la de mon côté pour recevoir mes baiſers, & laiſſez-moi faire. Ainſi placée, il s’arrête un moment, admire mes feſſes, qu’il